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Chronique #10 | Binti, une enfance dans la tourmente africaine
Titre : Binti, une enfance dans la tourmente africaine
Auteur : Deborah Ellis
Édition : Le livre de poche jeunesse
Genre : Contemporain
Pages : 246
Mon avis : Très bonne lecture
Résumé : Dans une Afrique ravagée par le sida et la pauvreté, Binti, une jeune Africaine de 13 ans, apprend chaque jour à lutter pour survivre.Hello hello !
On se retrouve aujourd'hui pour un pitit article bonus (comme vous l'aurez remarqué, nous ne sommes pas dimanche) sur un livre assez peu connu : Binti, une enfance dans la tourmente africaine.
Je vous laisse avec ma chronique !
Binti, 13 ans, est une jeune collégienne du Malawi (Afrique). Dans ce pays pauvre, elle fait partie des rares privilégiées, et est d'ailleurs comédienne dans la série radiophonique la plus écoutée du Malawi. Un jour, un événement va bouleverser son existence…
Bon, je l'avoue, mon résumé est bien maigre. Mais, c'est juste que cet événement m'a un peu choquée, aussi je préfère ne pas vous le dévoiler ^^
Donc je tiens déjà à vous dire qu'il s'agit pour moi d'une lecture imposée par ma professeure de français. Et franchement, pour une lecture imposée, c'est vraiment une excellente lecture! (pour une lecture imposée, je dis bien, c'est pour ça que vous pouvez voir ci-dessus que mon réel avis est «très bonne lecture»)
C'est, tout d'abord, un livre très intéressant. On en apprend plus sur le Malawi, et sur l'Afrique en général : les conditions de vie, les réactions des personnes face au sida, etc. On apprend même un mot de leur langue : Gogo, qui signifie grand-mère, et qui est tout de même un thème récurrent dans ce roman. De plus, j'avais déjà l'année dernière, avec la même professeure, lu un livre de cette auteure (Parvana, une enfance en Afghanistan ; si cela vous intéresse), et c'était également très instructif. Deborrah Ellis s'intéresse énormément aux enfants du monde, et beaucoup de ses œuvres sont basées là-dessus.
Ensuite, les personnages sont vraiment bien creusés psychologiquement parlant. Binti, notamment, ainsi que Junie, ont été vraiment bien travaillées par l'auteure ; et on constate vraiment la grande évolution de leur caractère, en particulier pour Binti, qui a vraiment mûri et grandi mentalement.
La fin, bien qu'un peu triste, comme l'ensemble de l'ouvrage, est tout de même très belle, et porteuse d'espoir.
Si vous vous intéressez à l'Afrique (et même si vous ne vous y intéressez pas!) je vous recommande ce livre, qui est très rapide à lire, et qui de plus est très beau.
Un petit reproche, cependant, plus adressé à l'éditeur qu'à l'auteure : je ne trouve personnellement la couverture pas très belle, elle ne me donne pas envie de lire ce roman, et je ne l'aurai jamais lu de moi-même ^^''
J'espère que cette chronique vous aura plu et qu'elle vous aura permis de découvrir ce roman -pas très connu, il est vrai.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout, à dimanche pour un prochain article !
En attendant, je vous souhaite à tous une bonne fin de semaine ;)
La Pianiste Sans Visage
Tags : chronique, lecture, afrique, sida, contemporain, maladie, mort, deborah ellis
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Commentaires
Ce n'est pas trop mon genre de livre... Cependant, tu en parles très bien, et tu sais donner envie. Je ne pense pas le lire, mais cela peut être intéressant pour d'autres.
Oui, moi non plus d'ailleurs, je pense que je n'aurais jamais lu ce livre de moi-même ^^" Merci beaucoup, c'est très gentil ❤️